Ce petit livret a été spécialement conçu pour l'exposition de fin d'études de master en 2024 à TALM, option ART. Son inspiration principale provient des fenêtres pop-up emblématiques de Windows 98. À travers les différentes tailles de pages du livret, il cherche à reproduire l'aspect ludique et décalé de ces fenêtres.
Dimensions : 148 × 210 mm
Nombre de pages : 20
Ce portfolio artistique s'inspire d'un journal promotionnel d'une chaîne de restaurants. Le format reprend exactement celui d'un véritable journal, renforçant ainsi son lien conceptuel avec le support original. Les sculptures de téléphones présentées dans les pages adoptent une mise en page qui s’inspire du langage visuel des publicités de supermarchés, mettant en avant une esthétique à la fois commerciale et artistique.
En juin 2024
J’ai eu l’immense honneur de présenter mon travail lors de l’exposition de fin de master à TALM, située dans la région Pays de la Loire, et d’avoir obtenu la mention FÉLICITATION. Cette exposition s’articule autour de quatre espaces distincts, chacun conçu pour offrir une immersion unique dans mon univers artistique.
L’expérience débute dans un couloir où les visiteurs découvrent une vidéo projetée directement sur la porte, leur indiquant le point d’entrée. En franchissant cette projection, ils pénètrent dans le deuxième espace, dédié à la présentation de la peinture intitulée Appartement 906.
Le parcours se poursuit avec un espace bureau, subtilement dissimulé derrière des rideaux. Cet espace, intitulé Je change de vêtements, invite à une réflexion plus intime et introspective.
Enfin, en écartant un dernier rideau, les visiteurs accèdent au quatrième et ultime espace, dévoilant la conclusion de cette exploration immersive. Chaque étape de l’exposition a été pensée pour guider le spectateur dans un voyage narratif et sensoriel.
La 6e édition des Estivales de Sceaux
Festival d’art contemporain du Grand-Paris
Biennale d'art contemporain de Champigny sur Marne
Ville de champigny-sur-Marne
Amours V
Espace temps
98 rue Quincampoix, 75003 Paris
"Contemporary chinese works on paper"
Ipswich art gallery -ipswich. U.K
Preface By Robert Priseman
Our desire to capture the spoken word and communicate our common human experience has been with us for as long as we have been conscious enough to form communities. In China, the first method which enabled our thoughts, feelings and beliefs to be recorded was enabled with the development of calligraphy during the Han Dynasty (206 BC–220 AD).During this period calligraphy was applied to silk, wooden strips and bamboo scrolls which were sewn together with hempenstring. These early methods provided the standard mediums for transcribed communication but were either expensive or physically cumbersome. Then, towards the end of the Han Dynasty paper evolved as a cheaper and more portablealternative. Although early forms of paper had existed in China since the 2nd century BC, it was the mandarin Cai Lun (50–121 AD) who devised a standardised paper making process in105 AD. By suspending felted sheets of fibre in water, then draining and drying them out onto a thin matted sheet, Cai Lun was able to create significant improvements in paper production. Subsequently, thischeaper, lighter and more easily produced medium began to replace silk, wooden strips and bamboo, which by the 4th century AD were largely abandoned.
MA RUIMIN
‘M201707-Tj3’
2015
42x29.7cm
Watercolour Paper、Peach Gum、Print Ink